La pinède est exposée plein Sud. Dans ce sol très sec, les bulbes ne prospèrent pas facilement.
Raisonnablement, je me refuse à les arroser en été. Cependant ils fleurissent avec trois semaines d’avance sur les bulbes du bas de la propriété.
J'installe désormais mes surplus d'iris dans la pinède.
Raisonnablement, je me refuse à les arroser en été. Cependant ils fleurissent avec trois semaines d’avance sur les bulbes du bas de la propriété.
J'installe désormais mes surplus d'iris dans la pinède.
Les racines des pins affleurent parmi les rochers... pas facile de jardiner dans ces conditions ! Ne tiennent que les plantes chameau et encore faut-il qu'elles puissent supporter le froid hivernal.
Les euphorbes se ressèment abondamment dans l’escalier de la pinède. Chaque année j’en élimine pour éviter l’envahissement. Opération menée avec des gants bien entendu, sinon gare aux brûlures.
Les euphorbes se ressèment abondamment dans l’escalier de la pinède. Chaque année j’en élimine pour éviter l’envahissement. Opération menée avec des gants bien entendu, sinon gare aux brûlures.
Semis naturels parmi les graviers de l'escalier.
Contrechamp des photos précédentes ; voici une partie de la rocaille. Après cet hiver rigoureux, les sauges ont bien du mal à relever la tête. Je vais les nettoyer pour qu’elles repartent vigoureusement. Je profiterai de l’occasion pour biner la terre et composter entre les végétaux. Quant aux aiguilles de pin, elles tombent toute l’année… impossible d’avoir un sol parfaitement net.
Les jacinthes sont installées à demeure : une fois défleuris dans la maison, les bulbes sont mis en pleine terre où ils refleurissent chaque année en bouquets moins opulents, mais beaucoup plus naturels.
Et dans la mi-ombre du sous-bois, en lisière de forêt, pulmonaires et bergenias s’épanouissent parmi les saxifrages, épimediums et autres carex. Le pied des hostas a été généreusement composté. Les souches commencent à se hérisser de petites pousses. A la première pluie, la chasse aux limaces commencera.
Et dans la mi-ombre du sous-bois, en lisière de forêt, pulmonaires et bergenias s’épanouissent parmi les saxifrages, épimediums et autres carex. Le pied des hostas a été généreusement composté. Les souches commencent à se hérisser de petites pousses. A la première pluie, la chasse aux limaces commencera.
Et maintenant il faut espérer que nous échapperons aux coups de froid. En Franche-Comté, il gèle encore parfois début Mai. Alors, croisons les doigts !