Bien que je fasse référence au film de Stanley Kramer, je ne vais pas vous parler cinéma aujourd'hui ! Si ce titre m'est venu à l'esprit, vous verrez plus loin pourquoi.
Je vous ai déjà présenté les écureuils du jardin. Ils sont nombreux et mes commentaires sur vos blogs sont d'ailleurs accompagnés de la photo de l'un d'eux.
Dès que les volets sont ouverts, nous les voyons défiler sur la terrasse. Il arrive même que l'un d'eux nous attende déjà. Il faut dire que la première tâche de mon mari consiste en une généreuse distribution de noix pour les petites bêtes. Ils font partie de notre quotidien et je ne prends même plus la peine de les photographier.
Notre présence ne les gêne guère et certains consomment sur place :
Là il est devant la porte-fenêtre de la cuisine, et bien entendu il ne ramasse pas les débris... Nous en retrouvons partout et jusque sur les appuis de fenêtre ! Et je parle pas des traces boueuses qu'ils laissent sur le crépi de la façade, en empruntant toujours le même chemin...
D'autres s'en vont enterrer leur butin dans le jardin, ce qui fait dire à mon mari que d'ici quelques années nous aurons une belle noyeraie dans les environs (je ne peux quand même pas arracher les pousses qui germent dans la colline) !
Pendant que nous étions à table jeudi midi (nous y voici...) un petit écureuil au pelage sombre est arrivé, longtemps après le défilé des petits copains. Ceux-ci avaient raflé la mise pendant que l'autre faisait la grasse matinée ou musardait on ne sait où.
Curieux de nature comme ses congénères, notre petit ami s'est mis à visiter les mangeoires du pommier à fleurs.
Et qu'y avait-il au menu du jour dans les mangeoires ? ... Des graines de tournesol. C'est bien connu, faute de grives...
Regardez :
En janvier de l'année dernière, j'ai publié un petit billet où, tout en présentant les écureuils du jardin, j'ai parlé notamment de leur place dans l'écosystème. Vous retrouverez ce billet si vous CLIQUEZ ICI